Articles de presse, etc...
Carl Rogers avait raison...
Extraits de l'artcile de Maureen O’Hara, trad. inconnu (Source : www.afpc.be)
"Voilà le genre d’article qui contrebalance joyeusement les idées.
Bien entendu nous sommes 15 ans après la publication de l’article ci-dessous et 60 après le début de la thérapie centrée sur la personne, mais garder à l’esprit que la qualité du changement obtenu et intimement liée à la qualité de la relation thérapeutique me semble salutaire.
Dans le numéro d’avril 95 de "Family Therapy Networker", dans son article "La survalorisation de la thérapie", l’éminent comportementaliste Neil Jacobson fait une critique ravageuse de l’industrie de la thérapie...
Comme le dit Jacobson, "de telles informations devraient mettre mal à l’aise les psychothérapeutes."
Mais pas les thérapeutes centrés sur le client.
Il s’avère que les deux articles, celui de Jacobson et celui de Miller,Hubble et Duncan, arrivent aux mêmes conclusions. Carl Rogers avait raison.
Eh bien maintenant, nous savons. Les thérapeutes centrés sur le client ou centrés sur la personne avaient raison. Ce n’est pas la technique, ce n’est pas le thérapeute, ce n’est pas le niveau de formation, ce n’est pas la nouvelle drogue miracle, ce n’est pas le diagnostic.
C’est l’aptitude innée à l’auto-guérison de notre client, et c’est la rencontre - la relation dans laquelle deux ou plusieurs "je" souverains et sacrés se rencontrent en tant que "nous" aux prises avec les questions importantes concernant l’existence....
l’importance ne réside pas dans l’efficacité ou l’inefficacité de l’approche.
L’approche thérapeutique fournit le système de métaphores, le cadre de références, les récits chargés de sens, à travers lesquels peut être comprise l’expérience.
Mais les informations données par Miller, Hubble et Duncan suggèrent que le résultat effectif est en corrélation avec la capacité du thérapeute d’entrer ou non dans le cadre de références du client - et non le contraire.
Article à lire dans sa version complète sur : http://www.mieux-etre.org/Carl-Rogers-avait-raison.html
Médecin et chaman à la fois
"Une vingtaine d’hôpitaux américains ont décidé de créer des centres de médecine complémentaire. Là, dans un cadre hospitalier " ordinaire ", le patient reçoit des soins inspirés d’anciennes traditions et des récentes découvertes de la psychologie et du développement personnel.
Il ne s’agit pas de remplacer chimiothérapie par acupuncture. Yoga, méditation, massage, visualisation, nutrition se pratiquent en complément d’un traitement conventionnel. Lewis Mehl-Madrona, médecin, psychiatre et chaman travaille dans l’un de ces centres où l’on invente aujourd’hui la médecine de demain..."
Associer le chamanisme des Cherokees et la chimiothérapie ? C’est le pari réussi du centre de médecine complémentaire de Pittsburgh, un de ces hôpitaux américains où l’on invente aujourd’hui la médecine de demain...
"Votre corps ne ment jamais !"
"Vivre, c’est... Habiter pleinement notre corps
Nous sommes souvent portés à vivre à l’extérieur de nous-mêmes dans
l’espoir de plaire, d’être reconnu, accepté… Mais en vivant ainsi, on se
coupe de nos racines profondes, de notre vérité."
"Allez-vous refuser votre corps et vous battre contre lui durant toute votre existence ? Ou allez-vous l’accueillir, l’écouter, devenir ami avec ce véhicule qui porte votre vie ?"
Janvier 2014 Magazine Vivre
"En finir avec le mépris du corps", article paru dans Le Monde de
Richard Meyer, médecin psychiatre, fondateur du terme somatothérapie : réintègrer le corps (soma) dans le soin (thérapie). Cliquez ici
La philosophie du médiété : comprendre son corps
Le médiété est un mélange de yoga, de karaté, de taï-chi et de danse.
Avant que les études ne prouvent que le sport réduit la récidive des cancers et la fatigue, des pionniers ont proposé à des malades de se mettre au karaté. Reportage paru dans Rue 89, site d'information et de débat sur l'actualité, indépendant et participatif.
On en parle ailleurs...
Définition de la somatothérapie sur :
"La somatothérapie, thérapie par médiation corporelle, prend en compte la personne dans sa globalité considérant le corps en inter-relation avec les autres dimensions de la personne : psychiques et émotionnelles.
Dans cette approche, le corps est considéré comme "lieu" de référence permettant des prises de conscience ouvrant aux capacités de changement de la personne.
La somatothérapie fait appel à de nombreuses pratiques : techniques de toucher et de communication, écoute corporelle, relaxation, mouvement, respiration, verbalisation..."
Principes thérapeutiques :
"Le travail sur le corps est un travail de longue haleine : par le toucher ou le massage, par la prise de conscience du schéma corporel dans l’espace, par le mouvement ou danse, par la respiration, par l’expression des émotions (huit émotions de base de Plutchik), des pensées et convictions, par la prise de conscience du contact avec l’entourage ou l’environnement, par la création de lien avec les autres êtres humains, par le son, la voix, la musique, par le dessin ou symbole,...
pour arriver à la pleine conscience du corps et de l’esprit.
Apprendre à connaître et à comprendre le corps entier dans tous ses rôles et fonctions afin de répondre à ses besoins et le soigner ou le guérir."
Jérôme Chidharom
"Créée par Richard Meyer, médecin psychiatre, la somatothérapie réintègre le corps (soma) dans le soin (thérapie).
Le corps devient alors le messager de l'histoire du patient et celui-ci peut avec lui se libérer de ses blocages en exprimant ses ressentis, et en trouvant ses solutions.
La respiration, la relaxation, les états de conscience modifiés, ou encore la voix, sont autant de techniques utilisées dans le cadre de cette pratique. Toutes contribuent à un processus thérapeutique enfin dans la globalité de l'être."